Storia arcana ed aneddotica d'Italia di Fabio Mutinelli
<216
ge s'aper^ut qu ii avoit eseamoté une prime; il le traita de iripon et de fllou (1) ».
« La duchesse de la Ferté réunissoit chea elle ses fournisseurs, buuchers, boulangers, etc., les mettoit nutour d'une grande table, et jouoit avec eux une espèce de lansquenet. Elle me disoit à l'oreille: Je les triche, mais c'est qu'ils me volent (2) »
Il est question damrtous les écrits du temps de la passion que le cardinal Mazurin conserva pour le jeu jusqu'à sa mort: madame de Motteville assure que, pendant sa dernière maladie, d pesait Ics pi-stoles qu il avait gagnées, ,)imr remettre au jeu les plus légCres On dit au cardinal, dans un sonnet » DisposeDe la reine de piqué, trèfle, coeur ou carreau,
Mais n en fais pas ainsi de la reine de France (3) ».
Que sì tu veux que tes parentes Epousent les parents du roy, Tu les peux bien rendre contentes; Car, mesme dans ton désarroy, Les rois de carreau et de piqué, 14 Qui sont tes amis domestiques.» Ilonneront à ces belies soeurs Des valets de trèfle et de coeur (11.
Scarron dit au cardinal, dans la Masarwmk:
On te tieni inventeur du hoc, Ou beau jeu de trenle et qnaranteLe gazeticr poete fait parler ainsi le due de Roquelaure:
(!) Ibid., I. VII, ,> 107.
(2) Meni, de mail, de Sinai, p. (il): l'ari». iu-ia. Ihdot. IMO,
(8) Coli. Maurepaa, t II. p 3.;>7.
(4) lì ibi Imp., Mas du fondu Saint Marlin, TV. 7-"
| |
Ferté Mazurin Motteville Ics Cres On France Epousent Car Les Des Masarwmk Roquelaure Ibid Meni Sinai Coli Imp Mas Saint Marlin
|
